Au Nord, l’offensive pop se poursuit, rappelant que les années soixante n’ont pas accouché que de l’art de l’information. Rappelant également que le pop art, au delà d’un penchant pour les plaisirs oculaires, est aussi un art de l’image limite. Une esthétique bien conceptuelle de la plasticité des statuts, des morales, des hiérarchies consenties du monde de l’art. Un art des politiques de l’image à l’ère de la masse critique de la reproductibilité industrielle de l’œuvre…
illustration : Sara Kaaman et Martin Falck soit le Studio SM