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La totalitĂ© d’un exemplaire de la B42 qu’hĂ©berge la BibliothĂšque de Saint Omer est accessible (via Gallica, par exemple) parmi les ressources numĂ©riques de la BibliothĂšque de l’AgglomĂ©ration de Saint Omer. Ă la facture trĂšs homogĂšne des compositions typographiques de la B42 rĂ©pond le soin apportĂ© Ă cette publication numĂ©rique : on peut dĂšs lors, autrement qu’Ă Mayence (musĂ©e Gutenberg) par exemple, exercer ses yeux Ă deviner un peu du texte latin de la Vulgate, observer les occurrences imprimĂ©es des types, comparer les variantes de certains caractĂšres typographiques de l’atelier mayençais avec le tableau qu’en a dressĂ© Guy Bechtel (cf. p.443 in Gutenberg et l’invention de l’imprimerie, G. Bechtel, Fayard Ă©d., Paris, 1992)  âce dernier, en p.448 de son ouvrage (op.cit.) reproduisant une partie de l’enquĂȘte menĂ©e par A. Ruppel (Die Technik Gutenbergs und ihre Vorstufen, 1961)â ou encore avec l’Ćil des caractĂšres imprimĂ©s qu’aligne en p.62 et p.63 du tome 1 de son Histoire de l’Ă©criture typographique (Atelier Perrousseaux Ă©d., MĂ©olans-Revel, 2005), Guy Perrousseaux, empruntant quant Ă lui Ă Gottfried Zedler (Die alteste Gutenbergtype, Mainz, 1902) : à suivre..
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