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Autour d’un sujet embrassant la question du rhizome et ses développements énergétiques souterrains sans véritable commencement, ni centre, ni fin, Sarah Kremer, étudiante en diplôme supérieur première année à l’ÉSAAB, a choisi d’expérimenter les potentialités éditoriales de l’intertextualité. C’est que le texte est au sens propre un tissu. Tissu d’emprunts, d’influences, d’intentions et de références comme autant de flux internes et externes à l’objet livre.
Bravo Ă Sarah pour son introspection si profonde dans la dialectique de cet objet qui est un lien au dela des siecles entre les peuples.