Wakefield

Lena Araguas et Fabrice Mabime, étudiants en design graphique à l’Ensba Lyon, ont mis en forme le dernier opus de la collection Cheval Vapeur rééditant le Wakefield de Nathaniel Hawthorne.

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Voici ce qu’ils nous rapportent de ce petit théâtre d’esthétique relationnelle :

« Un peu trapu, tassé repu, du petit cadre à poser sur la cheminée, en lieu et place de. Rectangle impressionné en creux, aérien, simplifié, stabilisé. Gauche retour chariot.
Empreinte sombre d’un esprit calligraphique, fil d’Ariane occasionnel, lasso lancé, élastique, désirant, observateur. Sitôt parti, aussitôt revenu.

Emblématique de Wakefield père et fils, bien huilée, bidon de tôle laquée, ouvert, débouché, humecté — tantôt sève des appareillages verdoyants du dessus — tantôt mélasse obscure raffinée depuis les grands fonds.

De un à quarante-huit, bâtie en clone gauche.

À l’épaisse main tendue, ne se perd pas, ne se cherche pas. Colporte au même moment de petites particules étrangères en son sein, dans sa masse.

Couperet aimanté vers le haut, remonte oblique et enchâssé — errance
dans le jardin à la première voix. Miniaturisation légiférante et faire valoir
des jeux d’esprit.

Tel quel, posé là comme preuve par trois, hypothétiquement indiscutable.
Conjecture de la coupure sous presse, faite par un autre. Parole à demie-voix, découpée recollée, froidement factuelle.

Pleines pages, progressives, programmatiques, ne perdent jamais de vue leur point de chute, le seuil, au-delà des trois marches. Dilatation du carreau tramé de gouttelettes d’impossibles portraits du portrait. Â»

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