Clément le Tulle-Neyret

thierry dit :

18 / 01 / 09 à 21 h 17 min

La dialectique et la dialogique mon ami !
La poule ET l’œuf en quelque sorte !
Sans oublier la basse cour, le grain, le fermier, le renard, le coq, le soleil qui se lève, les œufs au plat, les voleurs de poule, la poule au pot des repas dominicaux…
😉

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Benoit dit :

18 / 01 / 09 à 19 h 10 min

C’est compliqué en effet et quelque chose m’échappe. La seule configuration d’une école suffirait à définir le niveau d’un étudiant ?
Le panel de sensibilités se trouve peut être au sein de l’enseignement mais surtout chez les étudiants. Cette multiplicité de discours est-elle enseignée ou est-elle apportée par les étudiants ?
Les étudiants ne se construisent évidemment pas uniquement dans leur école, leurs inspirations et leurs études viennent aussi et surtout d’ailleurs.
D’où ma précédente interrogation. Un étudiant est il bon parce qu’il est dans une bonne école ? Ou cette école est elle bonne parce que ses étudiants sont engagés dans leur travail et qu’ils y apportent de bonnes choses ? Si on considère qu’une école d’art n’apprend pas à créer mais pousse à le faire, n’oblige pas à prendre une voie mais encourage sur la voie choisie, l’engagement et la réussite ne dépend que de l’étudiant. Le travail qui en résulte est il alors à la satisfaction de son auteur ou à celle de l’école ?

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THIERRY dit :

16 / 01 / 09 à 19 h 30 min

Compliquée cette question de l’évaluation du niveau d’une école, de celui de ses étudiants et de leur interrelation !
D’abord le niveau d’une école est jugé d’un certain point de vue et il y a fort heureusement tout un panel de sensibilités et d’approches dans les écoles d’art. Ensuite ce niveau est le résultat d’une dialectique et de la chambre d’échos des influences intriquées de tous les acteurs de l’école. De la compétence et de l’engagement des enseignants et des enseignés, des effets de promotion, mais aussi des moyens et des politiques de l’école, de sa direction, de son administration, de ses personnels d’entretien, de son ministère de tutelle, de sa région, de son pays, etc. Voilà ce qu’on pourrait essayer de dire de la matière d’un mot compliqué dans un commentaire d’article !

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Benoit dit :

16 / 01 / 09 à 12 h 32 min

Je trouve très intéressante la formulation que vous donnez à votre commentaire : le diplôme de l’étudiant confirme la bonne école. Les écoles (d’art) forment elles de bons étudiants ou ce sont les bons étudiants qui font la bonne école ?

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Le diplôme du prometteur Clément le Tulle-Neyret vient confirmer la place qu’est en train de prendre l’Enba de Lyon dans le paysage de l’enseignement du graphisme français.

Tombolo

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Clément le Tulle-Neyret, par Thierry Chancogne

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