10 commentaires Le savoir du peuple, par Thierry Chancogne Jah love ! RĂ©pondre Anthony Clegg, ça lui va bien en effet⊠RĂ©pondre Antoine, nouveau « zoulou blanc » en somme. http://www.youtube.com/watch?v=wUX3AK6wRzM RĂ©pondre je suis bien dâaccord⊠http://www.salutpublic.be/2ou3choses/a-decouvrir/4900 đ RĂ©pondre un blog qui me passionne http://belog.jigaram.com/ RĂ©pondre trĂšs clair. merci RĂ©pondre Je veux parler dâun moment post quelque chose (colonial, fordiste, industriel, guerre froideâŠ) oĂč la question des hiĂ©rarchies consenties de lâart et de la culture sont remises en cause. Un moment qui autorise de sâintĂ©resser Ă ce qui Ă©tait jusque lĂ dĂ©prĂ©ciĂ© : la sous-culture, lâexotisme coupable car toujours plus ou moins colonialiste⊠Il y eut par exemple lâimportante exposition Les magiciens de la terre, en 1989, qui voulait dĂ©centrer les normes exclusivement occidentales de lâart. Cela concernerait aujourdâhui, entre autres, Slav & Tatars, Tunctunctunc, Bidoun, 21st-maroon-colony, Jeremy Deller et Alan Kane et leur Folk archive mais aussi Zarka ou Lamouroux qui sâintĂ©ressent Ă la culture skate. On a beaucoup appelĂ© ce moment post modernitĂ© dans un sens oĂč il accusait une certaine rupture dâavec lâĂąge moderne universaliste et totalisant. Rick Poynor a soutenu que cette nouvelle culture Ă©tait celle de lâimpur, du pluralisme, de lâĂ©clectique⊠JâespĂšre ĂȘtre un peu plus clair. RĂ©pondre Ah, c’est une forme dâorientalisme dĂ©bridĂ©, dĂ©complexĂ© ? Comme Slav & Tatars avec le « post-colonial/post-cold war » esthĂ©tique. http://www.slavsandtatars.com RĂ©pondre On ne va pas recommencer avec la scĂšne primitive effectivement radicale au deux sens du terme, originale et originelle, du modernisme et par exemple ibĂšre et africaine en ce qui concerne notre bon vieux maĂźtre Ă©talon. Je veux parler de cette approche sous-culturelle, exotique, plus ou moins coupable du folklore. Car le folklore dĂ©signe aussi la culture rejetĂ©e par le pouvoir, la culture in-officielle, la contre culture, la, les cultures marginales, inacceptables, Ă©trangĂšres, Ă©tranges, inactuelles⊠RĂ©pondre Il n’est pas moderne Picasso? RĂ©pondre RĂ©pondre Ă Seb Annuler la rĂ©ponse. Votre adresse de messagerie ne sera pas publiĂ©e. Les champs obligatoires sont indiquĂ©s avec * Nom * Adresse de contact * Site web Veuillez recopier les caractĂšres ci-dessus. Commentaire Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <s> <strike> <strong> Antoine BertaudiĂšre vient dâobtenir son diplĂŽme supĂ©rieur avec mention en sâintĂ©ressant aux questions du multiculturel et du multipolaire, bref Ă une approche positive de cette notion de folklore, ce « savoir du peuple » qui fut si longtemps mĂ©prisĂ© par la pensĂ©e moderne de lâuniversel et de la table rase. Plus dâimages sur MĂ©thode Bernadette⊠29 / 06 / 09
Je veux parler dâun moment post quelque chose (colonial, fordiste, industriel, guerre froideâŠ) oĂč la question des hiĂ©rarchies consenties de lâart et de la culture sont remises en cause. Un moment qui autorise de sâintĂ©resser Ă ce qui Ă©tait jusque lĂ dĂ©prĂ©ciĂ© : la sous-culture, lâexotisme coupable car toujours plus ou moins colonialiste⊠Il y eut par exemple lâimportante exposition Les magiciens de la terre, en 1989, qui voulait dĂ©centrer les normes exclusivement occidentales de lâart. Cela concernerait aujourdâhui, entre autres, Slav & Tatars, Tunctunctunc, Bidoun, 21st-maroon-colony, Jeremy Deller et Alan Kane et leur Folk archive mais aussi Zarka ou Lamouroux qui sâintĂ©ressent Ă la culture skate. On a beaucoup appelĂ© ce moment post modernitĂ© dans un sens oĂč il accusait une certaine rupture dâavec lâĂąge moderne universaliste et totalisant. Rick Poynor a soutenu que cette nouvelle culture Ă©tait celle de lâimpur, du pluralisme, de lâĂ©clectique⊠JâespĂšre ĂȘtre un peu plus clair. RĂ©pondre
Ah, c’est une forme dâorientalisme dĂ©bridĂ©, dĂ©complexĂ© ? Comme Slav & Tatars avec le « post-colonial/post-cold war » esthĂ©tique. http://www.slavsandtatars.com RĂ©pondre
On ne va pas recommencer avec la scÚne primitive effectivement radicale au deux sens du terme, originale et originelle, du modernisme et par exemple ibÚre et africaine en ce qui concerne notre bon vieux maßtre étalon. Je veux parler de cette approche sous-culturelle, exotique, plus ou moins coupable du folklore. Car le folklore désigne aussi la culture rejetée par le pouvoir, la culture in-officielle, la contre culture, la, les cultures marginales, inacceptables, étrangÚres, étranges, inactuelles⊠Répondre
Jah love !
Anthony Clegg, ça lui va bien en effetâŠ
Antoine, nouveau « zoulou blanc » en somme.
http://www.youtube.com/watch?v=wUX3AK6wRzM
je suis bien dâaccordâŠ
http://www.salutpublic.be/2ou3choses/a-decouvrir/4900
đ
un blog qui me passionne
http://belog.jigaram.com/
trĂšs clair. merci
Je veux parler dâun moment post quelque chose (colonial, fordiste, industriel, guerre froideâŠ) oĂč la question des hiĂ©rarchies consenties de lâart et de la culture sont remises en cause. Un moment qui autorise de sâintĂ©resser Ă ce qui Ă©tait jusque lĂ dĂ©prĂ©ciĂ© : la sous-culture, lâexotisme coupable car toujours plus ou moins colonialisteâŠ
Il y eut par exemple lâimportante exposition Les magiciens de la terre, en 1989, qui voulait dĂ©centrer les normes exclusivement occidentales de lâart.
Cela concernerait aujourdâhui, entre autres, Slav & Tatars, Tunctunctunc, Bidoun, 21st-maroon-colony, Jeremy Deller et Alan Kane et leur Folk archive mais aussi Zarka ou Lamouroux qui sâintĂ©ressent Ă la culture skate.
On a beaucoup appelĂ© ce moment post modernitĂ© dans un sens oĂč il accusait une certaine rupture dâavec lâĂąge moderne universaliste et totalisant. Rick Poynor a soutenu que cette nouvelle culture Ă©tait celle de lâimpur, du pluralisme, de lâĂ©clectiqueâŠ
JâespĂšre ĂȘtre un peu plus clair.
Ah, c’est une forme dâorientalisme dĂ©bridĂ©, dĂ©complexĂ© ? Comme Slav & Tatars avec le « post-colonial/post-cold war » esthĂ©tique.
http://www.slavsandtatars.com
On ne va pas recommencer avec la scĂšne primitive effectivement radicale au deux sens du terme, originale et originelle, du modernisme et par exemple ibĂšre et africaine en ce qui concerne notre bon vieux maĂźtre Ă©talon.
Je veux parler de cette approche sous-culturelle, exotique, plus ou moins coupable du folklore. Car le folklore dĂ©signe aussi la culture rejetĂ©e par le pouvoir, la culture in-officielle, la contre culture, la, les cultures marginales, inacceptables, Ă©trangĂšres, Ă©tranges, inactuellesâŠ
Il n’est pas moderne Picasso?