Flux

3 commentaires

Production générale

Répondre à Laura Annuler la réponse.

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *



Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <s> <strike> <strong>

christophej2

Christophe Jacquet, Pour Jean Sénac, 2004

christophej61

Christophe Jacquet, Pour Jean Sénac, 2004

christophej71

Christophe Jacquet, Pour Jean Sénac, 2004

christophej

Christophe Jacquet, Un sentimiento, 1997

christophej3

Christophe Jacquet, magazine Double, 2003

Le graphisme n’est rien, le « graphique Â» est mon métier.
Qu’est-ce que le graphisme ? Donner forme, donc, dans un premier temps, ôter forme : user de procédés, d’opérations et de dispositifs de dislocation des signes et symboles du visible bavard – le vu, le lu et le « Ã -devoir-être-vu Â», le « Ã -devoir-être-lu Â».
L’énonciation d’une topographie devient le discours d’une topologie, la redondance asymptotique graphique est nécrosée : « Il le sentait sur sa tempe comme le mur sent la pointe du clou qu’on doit enfoncer en lui. Donc il ne le sentait pas. Â» Kafka désigne la forme graphique accomplie : Ne pas la sentir. Lapidaire et si acérée qu’imperceptible, insensible à elle-même, indolore puisqu’hétéroscopique.
La correspondance entre le « devenir-forme Â» et le « Ã -devoir-être-forme Â» est ma doctrine graphique.

Christophe Jacquet (dit Toffe) & Manuel Joseph

Meta

Entrevue

Beauregard