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Récemment la maison d’arrêt de Chaumont a demandé auprès du Centre International du Graphisme la mise en place d’un atelier graphisme dans ses murs très épais. Cette mission graphique d’utilité publique d’un genre particulier a été confiée à Sacha Léopold.
Le jeune graphiste ne s’est pas senti en droit de donner un cadre bien défini à cette mission d’urgence. Il a plutôt choisi d’interroger la responsabilité du graphiste et de l’animateur plus ou moins culturel, en général, et dans l’espace si tendu de ce cadre carcéral en particulier. Un espace de surveillance et de punition au sein duquel la question de la liberté, fut-elle d’expression, peut particulièrement poser problème…
« Le projet Qu’est-ce qu’on fait là ? qu’est-ce qu’on a à dire ? comment on le dit ? consistait à proposer 10 ateliers de 2 heures et de voir simplement ce qu’on pouvait en faire. il y avait 7 détenus, on était évidement enfermés pendant deux heures dans une double cellule.
La contrainte était que, justement, il ne pouvait pas y avoir de sujet ni d’attente car ni les détenus ni moi ne savions ce qu’on faisait là et ce qu’on pourrait faire pour agir, passer le temps, ou meubler sa cellule avec des images… »
opinel c’est pas une religion?
le S americain, les illuminatis, la religion et l’OL… Collection de mythologies vides et d’inconscient collectif en réponse (à une question jamais posée) à l’inconscience collective.